mercredi, octobre 9, 2024
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EnduroGP : génie ou pitrerie ?

Après une année 2016 de transition, la mue du championnat EnduroGP est cette fois véritablement lancée. En 2017, deux catégories, EnduroGP et Enduro2, une ouverture dans la neige, un enduro sprint plus un cross-country. Certains parlent déjà du schisme de l’enduro. Que faut-il en penser ?

Une petite année seulement d’EnduroGP tel qu’on le découvrait au Maroc au printemps dernier et voici déjà qu’ABC Communication, le promoteur, en accord avec la FIM et les constructeurs, passe à la tranche deux de son programme de modernisation de la vitrine de l’enduro. C’était prévu, mais là, on y est et ça fait réfléchir.
Flash-back Petit retour en arrière. En 2004, Alain Blanchard et sa société ABC Communication reprennent en main la destinée du championnat du monde enduro, qui devient le WEC (World Enduro Championship), avant de se voir renommé EWC (le même tiercé, dans l’ordre cette fois). On passe de cinq (125, 250 2T, 250, 400 et 500 4T) à trois catégories (E1, E2 et E3), ceci afi n de rendre l’enduro plus lisible (déjà!) pour le fameux “fan de base”, avatar enduristique de la ménagère de moins de 50 ans pour les publicitaires. En 2005, une classe Junior moins de 23 ans est ajoutée, avant que les Jeunes moins de 20 ans en 125 ne rejoignent le circus en 2009, puis les Filles en 2010.

Article complet sur l’EnduroGP à retrouver dans Enduro magazine n°89

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